Encore une danse de Katherine PANCOL
Editions Fayard / 351 pages
Résumé de l’histoire
Clara est une jeune femme seule et compliquée. Elle change perpétuellement d’amoureux, afin de tenter d’oublier Rapha Matha le grand amour de sa jeunesse. Mais elle garde des liens étroits avec son frère Philippe ainsi que sa bande d’amies.
Agnès qui a eu une enfance modeste et sévère et qui est malheureuse en mariage, Joséphine qui s’est mariée avec un noble, qui s’ennuie ferme et qui pour passer le temps a une multitude d’amants. Et enfin, Lucille, la plus belle de toute, snob, qui s’est mariée à un millionnaire qui ne la regarde jamais et qui se défonce dans son travail et mène grand train de vie, qui est jalousée par toutes les autres.
Mon avis
Je découvre Katherine Pancol avec ce roman écrit en 1999 … et je dois avouer que je suis assez déçue. Pourtant, à priori, l’histoire était faites pour moi. L’héroïne, Clara, nous parle de ses amis les plus chers et les plus proches qu’elle a connu à l’école et qu’ensuite elle côtoie très régulièrement.
La psychologie des personnages principaux est très élaborée et détaillée mais pourtant je ne suis pas arrivée à m’attacher à eux, malgré parfois un passé lourd, noir et chargé de pessimisme.
Au final, je trouve l’histoire un peu « simplette » le garçon central de l’histoire, Rapha Matha, ayant couché avec tous les autres membres du groupe, et pour finir l’issue de ce roman étant de savoir qui a ou pas le sida !!
Mais je dois avouer qu’il y a de très beaux passages, avec des questions que l’on c’est posé une fois ou l’autre quand on vit une relation amoureuse difficile et que l’on doute. Les parties de l’histoire concernant Joséphine sont passablement savoureux, car elle a un franc parler surtout en ce qui concerne sa vie de couple et sa vie amoureuse avec ses différents amants.
Donc une découverte en demi-teinte, mais je serais indulgente dans mon avis car c’était le seul livre disponible à la bibliothèque alors que je souhaitais lire « les yeux jaunes des crocodiles ». Je ferais donc une autre tentative, en espérant que ce livre sera meilleur.
Une phrase savoureuse en pages 30 qui m’a beaucoup fait rire : Habillé, il sera moins vulnérable. On n’annonce pas à un homme tout nu qu’on ne l’aime plus.
Note : 2 / 5 première parution en décembre 2008