Les deux romans dont je vais vous parler brièvement, me sont tombés des mains cette semaine pour deux raisons totalement différentes.
Le premier est de Didier Decoin et s’intitule : une anglaise à bicyclette. Au bout de 120 pages que j’ai lu en croix, j’ai décidé d’abandonner. Il raconte l’histoire d’un photographe anglais, qui se trouve dans le Dakota du Sud lors d’un massacre d’indiens. On lui donne une petite fille, afin qu’il la dépose dans un orphelinat à New-York, mais il changera d’avis et décidera de l’emmener avec lui, afin d’en faire une servante. 20 ans plus il décide de l’épouser ! Arrivée là péniblement (les descriptions du massacre des indiens m’a paru interminable tirais en longueur), j’ai lâché l’affaire car sinon j’y aurai encore passé plusieurs semaines !
Je suis déçue, car j’avais adoré son roman sur l’affaire Genove, dont je parle ici. Et j’avais envie de le découvrir dans d’autres romans.
Le deuxième roman que j’ai renoncé à lire, ce n’est pas parce qu’il est mauvais, bien au contraire, mais car malheureusement j’ai vu le film il y a presque 10 ans et j’en garde un magnifique souvenir. Il s’agit de : expiation de Ian Mc Ewan.
Mais dès les premières lignes, ça avait un goût de déjà vu, et j’avoue que les premières pages, celle où l’héroïne Briony (qui est détestable à souhait) écrit une pièce de théâtre et cherche les comédiens parmi ses cousins, m’ont semblées longues comme un jour sans pain.
Si vous avez l’occasion de voir le film : reviens moi ne le ratez pas.