Publié dans érotico-coquin, bd, Livres

Les secrets du harem

 

DJINN  de DUFAUX et MIERALLES  /  Cycle ottoman
T 1 : la favorite
T 2 : les 30 clochettes
T 3 : le tatouage
T 4 : le trésor
Editions   Dargaud  /  192   pages

 

Résumé de l’histoire

Sous un prétexte historique (en 1912 la Turquie doit décider si elle va s’allier avec l’Allemagne ou l’Angleterre dans la guerre qui s’annonce et elle va donner un trésor en échange de cette alliance) on lit finalement une bd érotique, avec un fantasme, celui des harems du début du siècle.

Car à cette époque, en 1912, une jeune anglaise, mariée à un diplomate, décide de rentrer au harem et d’en apprendre les codes.

Mais le principal de l’histoire se passe avec Kim Nelson, la petite-fille, qui revient en Turquie pour récupérer le trésor de sa grand-mère qui a mystérieusement disparu.

Elle accepte donc de suivre les règles du harem, à savoir, des femmes vont lui apprendre à découvrir son corps et à donner du plaisir aux hommes à chaque fois qu’ils le lui demanderont. C’est le thème du 1er volume.

 

Dans le 2ème : les 30 clochettes, une fois sa formation achevée, on lui fait porter une ceinture avec 30 clochettes et elle doit se donner à tous les hommes qui en font la demande et si sa « prestation » est acceptable, l’homme lui enlève une clochette si il n’est pas satisfait, il n’enlève rien, et ainsi de suite. Une fois toutes les clochettes enlevées, elle devient une vraie courtisane au service du sultan et peut même espérer devenir sa préférée afin de connaître toutes sortes de secret.

 

Dans le 3ème tome elle devient la favorite du sultan qui lui indique l’endroit où est caché le trésor de sa grand-mère.

 

Dans le tome 4, ses grands-parents et la favorite du sultan s’envolent vers l’Europe avec le trésor et Kim comprend que son grand-père couche avec sa femme mais aussi la favorite qu’il mettra enceinte, faisant d’elle une sang mêlé.

 

Mon avis

Kim Nelson est à la recherche de ses origines et du trésor de sa grand-mère. Elle en profite pour apprendre les règles du harem.

Une très belle bd érotique, tant au niveau du dessin que des situations. Le harem et toutes ses femmes à la disposition de l’homme est un des premiers fantasmes masculins, et pour les satisfaire le scénariste s’est régalé.

L’héroïne est magnifique, avec des proportions parfaites, des gros seins, une taille super fine, pas de ventre, musclée, élancée, avec son petit caractère ! Elle teste toutes les positions, se fait soumise, attachée, fessée, fouettée et elle suce un nombre de queues admirables, dont on ne voit pas la couleur. Tout est fait pour le plaisir de l’homme mais pas celui de la femme.

Et tout ça sur en tout cas 10 tomes. Je n’ai pas eu le courage d’aller jusque là, au tome 7 je me suis arrêtée, sans avoir envie de connaître la fin.

 

Note :   2  / 5   première publication en 2013

Publié dans biographie, Livres

Conclusion

LES FILLES DE CALEB III / ELISE  de  Arlette COUSTURE
Editions Albin Michel   /   374 pages

 

Résumé de l’histoire

 Pour terminer ce dernier volume de la trilogie des filles de Caleb, l’histoire débute en 1956 et se termine en 1992.

On retrouve les deux filles de Blanche et Clovis : Elise et Micheline qui sont des adolescentes, et on les suivra jusqu’à l’âge adulte.

Elise et Micheline sont sœurs mais totalement différentes. Elise veut vivre à la campagne avec son amoureux, avoir une maison à elle et plein d’enfants. Micheline est tout le contraire : elle veut faire des études, avoir un excellent job avec un bon salaire, être indépendante et collectionne les amants.

Je n’en dirai pas plus, de peur de faire des révélations malheureuses. Mais je peux vous dire que ce livre est un chef-d’oeuvre.

 

Mon avis

Décidément j’aime tout dans ce livre. L’écriture, le ton employé, les tournures de phrases. La façon très moderne (par rapport aux 2 premiers volumes) dont A. Cousture parle des relations intimes d’Elise et Micheline.

De plus, tout au long de ce volume, A. Cousture glisse des faits d’actualité (la mort de Kennedy et de Martin Luther King, le passage de De Gaulle et son célèbre discours commençant par : Vive le Québec libre) dans le récit et c’est vraiment très très réussi.

J’ai tremblé avec Blanche, Elise et Micheline, j’ai aussi beaucoup ri à leurs côtés et la fin du roman est une apothéose. Je referme donc ce livre, heureuse et apaisée car je pense qu’il ne pouvait pas finir autrement, même si je suis un peu triste, car je sais qu’il n’y aura pas d’autres volumes.

Je le recommande très très fortement à tous ceux qui aiment les histoires de famille sur plusieurs générations.

 

Note :   5  / 5    1er volume  –  2ème volume

Publié dans Livres, roman policier, thriller

Dans l’intimité

 

 

L’ETRANGLEUR MASQUE  de  Michael PRESCOTT
Editions France Loisirs    /   321  pages

 

Résumé de l’histoire

C.J. Osborne est persuadée qu’à l’âge de 10 ans, le croquemitaine a essayé de la tuer, lors d’une soirée où ses parents étaient absents. Ses parents pensent qu’elle a rêvé, mais C.J. est hantée par cette image.

On la retrouve 18 ans plus tard, elle est devenue policière, vient de divorcer de Adam, un avocat et elle souhaite changer de vie, mais dans un coin de sa mémoire le croquemitaine est toujours là. La surveille-t-il encore ? Veut-il toujours l’attraper ?

Morrie Walsh, est enquêteur depuis 30 ans et il travaille sur un nouveau sérial killer, qui tue une femme le dernier jour de chaque mois en l’étranglant et après sa mort, lui tatoue un sablier.

On découvre aussi Gavin, un garçon étrange, passionné par les araignées mais aussi féru d’informatique et il profite de ses connaissances pour installer des caméras, reliées à internet, dans la chambre à coucher de jeunes filles qu’il a sélectionné.

 

Mon avis

Voici un roman prenant, addictif, avec une écriture simple, précise qui va droit au but, et j’ai eu beaucoup de peine à dormir entre les chapitres. Même si l’intrigue est relativement simple et que j’ai vite compris où l’auteur voulait en venir.

C’est bien écrit, c’est malin, actuel, avec une perversion nouvelle, à savoir, regarder dans l’intimité d’une personne par le biais d’un site internet un peu coquin. Etre voyeur sans être pris.

Un mari intelligent, qui pense pouvoir commettre le crime parfait en tuant sa femme et en imputant cette mort au sérial killer du moment, mais C.J. est têtue, combative et rien ne va se dérouler selon le plan.

En conclusion, une très bonne lecture pour l’été, mais je ne lirai sans doute pas d’autres titres de cet auteur, car tous ces livres parlent d’un sérial killer et je pense qu’à la longue ça va devenir répétitif, mais un de temps en temps, c’est très agréable.

 

Mais qui est-il ? Portrait

Un auteur américain, né en 1960 et il écrit des romans policiers, d’abord sous le pseudo de Brian Arper entre 1992 et 1998 et dès 1999 il écrit sous son vrai nom, il a déjà sorti 12 roman, tous dans la même lignée (l’histoire d’un sérial killer).

 

Note :   4  / 5     première publication en 2013

Publié dans Cinéma, vu au cinéma

Futur probable

 

 

ELYSIUM

 

Réalisateur :  Neill Blomkamp
Comédiens :  Matt Damon / Jodie Foster

Durée        :  1 h 50
Genre        :  science-fiction et action

 

Note :   3  / 5  vu le 20/08/2013

 

Résumé de l’histoire (allo-ciné)

En 2154, il existe deux catégories de personnes : ceux très riches, qui vivent sur la parfaite station spatiale crée par les hommes appelée Elysium, et les autres, ceux qui vivent sur la Terre devenue surpeuplée et ruinée.

La population de la Terre tente désespérément d’échapper aux crimes et à la pauvreté qui ne cessent de se propager. Max, un homme ordinaire pour qui rejoindre Elysium est plus que vital, est la seule personne ayant une chance de rétablir l’égalité entre ces deux mondes.

Alors que sa vie ne tient plus qu’à un fil, il hésite à prendre part à cette mission des plus dangereuses –  s’élever contre la Secrétaire Delacourt et ses forces armées – mais s’il réussit, il pourra sauver non seulement sa vie mais aussi celle de millions de personnes sur Terre.

 

Mon avis

Je me faisais une vraie joie de voir ce film (le réalisateur est celui d’un autre film de sf : Distric 9 que j’avais adoré) et la bande-annonce me donnait vraiment envie.

Au final je l’avoue franchement, je suis déçue.

Commençons par les rares points positifs : la station spatiale Elysium est juste magnifique à regarder et je l’ai appréciée à sa juste valeur. La Terre dévastée et polluée ressemblera sûrement à ça dans 100 ans et ça fait frémir.

J’ai surtout été voir ce film car il y a Jodie Foster et un peu pour Matt Damon. Et aussi, car je suis passionnée de film sf et qu’il en sort relativement peu dans l’année.

Pour les points négatifs, j’ai trouvé le scénario un peu faiblard, certes de gros effets spéciaux avec tirs à gogo, mais il y a juste un moment où ça ne tient plus la route. Le mec qui se prend 30 ou 40 balles dans le corps et qui arrive encore à courir, passer un coup de fil et mettre des explosifs sous une voiture !! Bof là moi j’y crois plus.

Mais ce qui m’a le plus agacé, c’est une incohérence au niveau du scénario. Sur Elysium il y a une machine qui vous guérit de toutes les maladies et qui paradoxalement vous fait rester jeune. Jusque là ok.

Par contre Matt Damon, blessé au combat (juste une balle placée un peu près du cœur et saignant beaucoup) et ayant été irradié dans l’usine où il travaillait, ne pourra pas être guérit dans la machine.

Par contre « le méchant de service » qui se fait dézinguer à l’arme lourde (il est criblé de balles, avec des trous partout, une espère de roquette lui ayant emporté la  moitié du visage) donc il est mort ! Est mis dans la machine et revit miraculeusement avec un visage tout neuf !!

Une telle incohérence m’a fait hurler !

Un passage aussi m’a bien fait rire, celui ou Matt Damon se fait installer un exo squelette en métal et que le gars, même pas chirurgien mais garagiste l’opère sur un coin de table, sans anesthésie, avec une machine de chantier et que Matt a même pas mal !! Alors que la plupart des hommes sont à l’agonie avec un demi rhume !! Enfin c’est du cinéma.

 

 

Publié dans bd, Livres

Perplexe …

 

 

LOIN D’ETRE PARFAIT  de  Adrian TOMINE
Editions  Delcourt   /  108   pages

 

Résumé de l’histoire (4ème de couverture)

Ben Tanaka a des problèmes. Non seulement il est cynique, sarcastique et insensible, mais en plus sa relation avec sa copine se passe mal.

Miko Hayashi lui reproche d’être attiré par les femmes blanches parce que justement il est asiatique. Souffre-t-il d’un complexe sexuel ? Voit-il dans la figure nord-américaine typique le moyen de s’intégrer socialement ?

Pendant que Ben reste en Californie, Miko s’enfuit à New-York. Leur histoire s’inscrit dans l’Amérique multiraciale et borderline d’aujourd’hui. Un pays imparfait, tout comme eux.

 

Mon avis

Je ne connaissais pas et je n’ai rien aimé. Ni le dessin, uniquement en noir et blanc ni l’histoire qui ne m’a pas touchée.

Je ne savais pas que les asiatiques avaient de tels problèmes sexuels. Je sors avec une asiatique mais je fantasme sur les blanches, qui sont mieux en tout point que ma copine !

Ce personnage est particulièrement intolérant, il n’aime pas les homos et il n’aime pas non plus les autres asiatiques (coréen, japonais, etc.) et je n’ai pas bien compris pourquoi.

Enfin bon ça peut arriver, une mauvaise pioche mais ça n’engage que moi.

 

Mais qui est-il ? Portrait

Adrian Tomine est asiatique et né en 1974, il publie sa première bd à 17 ans. Ses recueils ont été traduits dans de nombreuses langues et il est aussi illustrateur pour The New Yorker, Esquire, Rolling Stones. Il vit à Brooklyn.

 

 

Note :   2  / 5   première publication en 2013

 

Publié dans Cinéma, mercredi c'est .. sorties ciné

Semaine 15

Cette semaine, avec les vacances de Pâques, peu de sortie de films et rien qui ne m’intéresse vraiment. Au final, il y a un thriller, un mélo et un film d’animation.

Pour le thriller, je parle de : a most violent year, qui raconte l’histoire de Abel Morales, immigré mexicain qui croit au rêve américain. Il est marié à Anna, fille d’un truand de Brooklyn et il tente de garder les mains propres dans le milieu corrompu du business du pétrole, alors que ses camions sont régulièrement attaqué. Un thriller qui tient le suspense jusqu’au bout en renouvelant le genre du film de mafia.

Pour le mélo, je parle de : le dernier coup de marteau, qui raconte l’histoire de Victor, qui vit seul avec sa mère très malade. Il n’a jamais rencontré son père, qui est chef d’orchestre, et quand celui ci est de passage dans sa ville il décide de le rencontrer.

Et je termine avec le film d’animation : pourquoi j’ai pas mangé mon père, de, avec, par, Jamel Debbouze, personnage que j’exècre profondément. Rien que sa voix m’exaspère au plus haut point, les blague sont lourdes. Donc pas pour moi et rien que le fait d’en entendre parler depuis 8 jours à la télé, sur toutes les chaînes, ça m’a encore moins donné envie. Mais par respect pour vous qui me lisez, je vais vous mettre l’extrait quand même !

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Semaine 14

Cette semaine, 3 films intéressants. Il y aura un thriller, une comédie et un film d’action.

Je vais commencer par le potentiellement moins bon, soit : un homme idéal avec Pierre Niney, qui a gagné un César du meilleur acteur pour ce film. Le pitch : Mathieu, 25 ans, écrivain pas encore célèbre, travaille comme déménageur pour boucler ses fins de mois. Un jour il tombe sur un manuscrit, véritable chef d’oeuvre et se l’approprie. C’est là que les ennuis commencent.

Le pitch me plaît beaucoup, même si le thème de l’imposture a déjà souvent été traité. Selon les divers avis que j’ai lu, le dénouement est assez prévisible et ne dynamise pas le récit.

En ce qui concerne le film d’action, il s’agit du très attendu fast & furious 7 avec le regretté Paul Walker. Même si le scénario laisse à désirer, on y va pour les cascades et pour la sympathique équipe de Vin Diesel, et le nouveau venu Jason Statham qui joue le méchant.

On termine avec une comédie qui me tient à cœur, la suite de Indian Palace. On retrouve avec bonheur l’équipe du premier film, avec en prime Richard Gere (toujours aussi craquant même avec ses cheveux blancs), en guest star américaine au milieu d’un casting britannique.

Le Marigold hôtel, dont on avait suivi l’ouverture en 2011, affiche complet. Il lui faut donc s’étendre. Tel est le prétexte de cette suite royale.