Publié dans Juste moi, mon moral vu de ma fenêtre

Retour sur juillet

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Pour la première fois depuis le début de l’année, les choses commencent à s’améliorer, je peux dire qu’il y a eu 80 % de bon et 20 % de mauvais. Ci-dessus, la Corse, un des rare endroit on l’on peut avoir la mer et la montagne simultanément.

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Bien sûr, comme partout en Europe, la Suisse n’a pas été épargnée par la canicule, et comme mon appartement est orienté sur le soleil levant, ce qui est très agréable tout le reste de l’année, en juillet, à 7 heures du mat’ il fait déjà entre 28 et 30° et arrivé en milieu de matinée on est entre 34 et 40° !

Des conditions difficiles, mais vers 11h30 le soleil tourne autour du bâtiment et je suis dans l’ombre, enfin ! Ce qui, l’après-midi me permets de profiter un max de mon balcon, qui même s’il se trouve à l’ombre a une température très agréable. J’ai lu tout mon saoul, ma petite table c’est transformée en bureau, et j’ai profité de la vie, même si je n’ai presque pas sorti le nez de chez moi !

Toutes les photos ci-dessous, sont des vues de Nice, prisent il y a presque 10 ans, lors d’une sortie de travail. J’essaie de rester dans le thème, c’est l’été tout de même, même si moi je ne suis plus partie en vacances depuis 10 ans ! Particulièrement cette année ça me manque.

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Pour ce qui est du côté négatif, je suis malade depuis 2 mois, le médecin a peiné à donner un nom à mon mal, il a fait un premier diagnostic, s’est trompé, puis un deuxième, mince il est encore à côté !

A la mi juillet j’ai finalement été chez un spécialiste qui pense avoir trouvé de quoi je souffre,  mais bien sûr, le jour du rendez-vous je n’étais pas en crise ! Il me fait donc prendre des médicaments totalement différent, et on dirait bien que ça marche !! Enfin.

C’est tellement rageant de devoir prendre un traitement pendant presque 2  mois et voir que ça ne sert à rien, car il n’a pas ciblé la bonne infection ! Tout ça pour un urticaire, mais on ne sait pas très bien lequel, ni par quoi il est déclenché (aliment, soleil, chaleur, transpiration, hormones, produits chimiques tels que produit douche, crème de jours, etc.) ?? La question reste ouverte … avec le bon mot du médecin : détendez vous et partez en vacances !!

Donc le bilan pour moi, pas d’apéro en terrasse, pas de vacances, pas d’amoureux, pas de sieste crapuleuse, pas de balades en amoureux, pas de découvertes de nouvelles villes ou de nouveaux pays.

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Même si moi je n’ai pas de vacances, Spoutnik lui profite du balcon à tel point que j’ai toutes les peines du monde à le faire rentrer le soir ! Et quand mon balcon est trop petit, il va sans problèmes chez les voisins de gauche et ceux de droite, un jour, il est même rentré avec de la nourriture qu’il a chapardé chez l’un de mes voisins !

Enfin c’est sûr lui au moins il s’éclate et souvent ça suffit à égayer ma journée.

Publié dans Cinéma, mercredi c'est .. sorties ciné

Semaine 31

Cette semaine, trois films plutôt intéressants. Un film fantastique, un film d’animation et un film de science-fiction.

Pour le film fantastique, il s’agit d’un film italien et je parle de : le garçon invisible. Le pitch : Michele est le souffre-douleurs de sa classe et un jour il découvre qu’il peut devenir invisible. Pratique pour se venger, mais pas que. Une autre façon de voir le mythe du super héros.

Pour le film d’animation, il s’agit de : le petit prince. En fait, l’histoire du petit prince est incorporé dans l’histoire d’une petite fille, trop coachée par sa mère, et sûrement primée pour devenir la femme parfaite et responsable. Une façon de dire, pendant les vacances, laissez vos enfants respirez et jouer dehors !

Et pour terminer le film de sf, avec : renaissance avec Ben Kingsley et Ryan Reynolds. Le pitch : Riche, vieux et malade, Damian accepte une expérience de la dernière chance : son esprit va être transféré dans le corps d’un jeune homme. Il recommence alors une nouvelle vie à cent à l’heure, avant d’être perturbé par d’étranges hallucinations. Et si ce corps n’était pas vierge de toute vie antérieure, de tout souvenir ? Je dois avouer que celui-ci me tente beaucoup, et je trouve la bande-annonce très bien faite.

Publié dans Cinéma, séries en vrac

Forever

Voici une très bonne série policière que j’ai ad-or-é ! Dommage là encore, il y aura une seule et unique saison, pour la simple et bonne raison que le taux d’audience aux USA n’était pas assez haut.

Donc, Forever, est une série policière, se passant à New-York de nos jours. On suit la vie du médecin légiste, Henry Morgan, un anglais, toujours bien habillé, très cultivé, très observateur, qui va devenir l’équipier du lieutenant Jo Martinez. Mais le dr Morgan a un secret, il est immortel depuis plus de 200 ans, et à chaque fois qu’il meurt, il revient à la vie, nu, sortant de l’Hudson River !

Dans les seconds rôles, nous avons le lieutenant Martinez, une femme dans la trentaine, qui travaille 14h par jour, depuis la mort de son mari. Elle n’arrive pas à tourner la page et à passer à autre chose. Il y a aussi Eb, il tient sa propre galerie d’antiquité et vit avec le Dr Morgan. Au départ, on croit que Henry est son fils, mais bien vite on va découvrir que c’est le contraire !

Le fil rouge de la série, c’est bien sûr le Dr Morgan, et dans chaque épisode on en apprend un peu plus sur son personnage. Le fait qu’il soit né en Angleterre en 1800, comment la première fois il est mort par balle dans un navire négrier et ensuite jeté à la mer. Quand il retrouve sa femme, il lui raconte son incroyable histoire et elle le fait jeter à l’asile psychiatrique, dont il ne pourra se sauver qu’en se suicidant.

Ensuite il fera profil bas, changera régulièrement de ville et de pays, car le fait d’être un bel homme de 35 ans qui ne prend pas une ride au bout d’un moment ça se remarque ! Il y aura aussi un incident majeur dans sa vie. En 1945, alors qu’il est médecin pendant la guerre, il rencontre une infirmière, Abigael, qui vient de sauver un bébé juif. Afin qu’on ne leur pose pas trop de question, ils partent s’installer en Amérique, se marient et décide que ce petit garçon, Abraham, surnommé Eb, deviendra leur fils. Au cours d’une rixe, Henry se fait à nouveau tuer, devant les yeux de sa femme, démunie, quand son corps disparaît ! Et quelques heures plus tard, elle le retrouve à la maison.

Elle croira en lui toute sa vie et plus tard Eb, devenu adulte sera aussi mis dans la confidence. Mais les années passent, Henry a toujours 35 ans et l’amour de sa vie en a 70 ! Elle ne supporte plus d’être avec lui et que les gens croient qu’Henry est son fils. Alors au début des années 1980, elle lui écrit une lettre d’adieux et elle disparaît. Cela va hanter Henry toute sa vie. Où est-elle ? Est-elle encore en vie ? Pense-t-elle à eux de temps en temps ?

Mais je vous rassure, nous aurons toutes ces réponses, et à la fin de la saison 1 tous les mystères sont éclaircis. Ce qui fait que même si la saison 2 ne voit jamais le jour, nous aurons eu une histoire complète, et au cas où il y aurait une autre saison, il y a de bonnes bases pour démarrer.

Et pour terminer, les enquêtes en elles-mêmes sont très bien ficelées, certaines ont mêmes des rapport avec le Dr Morgan, et il y a même un méchant immortel, de 2000 ans, Adam, qui va faire grimper le suspens, et dans un épisode magistral, Henry va le maîtriser à tous jamais, tout en conservant le serment d’Hippocrate. 

Publié dans les pas finis, Livres

Deux pour le prix d’un

Voici deux romans que j’ai abandonné très rapidement pour des raisons très différentes.

Le premier est de Thierry Luterbacher, un auteur suisse romand et il s’intitule : Dernier dimanche de mars. J’avoue que je ne suis jamais entrée dans le livre, à la limite je n’ai pas compris de quoi on parle, et je n’ai pas réussi à trouver le narrateur attachant. Je l’ai ressenti comme un gars à part, perdu, peut être même retardé et à la page 65 j’ai abandonné car je n’avais aucun plaisir avec ce récit.

En ce qui concerne l’autre roman, il s’agit de : la maison de Tess par Cathy Kelly. Comme d’habitude, je me suis fait avoir par la jolie couverture (les macarons, le service à thé) et l’on se dit que l’on vas passer un agréable moment.

C’est ce qu’on appelle entre blogueuses un livre pansement ou doudou. Une écriture fluide, une belle histoire d’amour avec des personnages attachants, un bon scénario et une fin en happy end.

Mais voilà, toutes ces femmes larguées et trompées par leurs maris ça m’a foutu le bourdon, pas envie de lire ça en ce moment. Et puis le déroulement de l’histoire est très prévisible et quand la romancière parle de Cashel Reilly, qui vit en Australie, qui est beau, riche, divorcé et très malheureux et qui a eu une aventure avec Tess … …

Voilà pour moi l’histoire devenait limpide et évidente. Mais j’ai quand même tenu jusqu’à la page 150 ! Et je ne remets pas en cause l’écriture ou le style de Cathy Kelly, je savais bien ce que j’allais lire, et je me disais que ça me ferait une jolie lecture pour l’été.

Mais finalement ça ne passe pas … et en cherchant dans mes résumés des dernières années, j’ai vu un autre résumé, d’un autre roman que j’avais lu jusqu’au bout, mais au final j’avais l’impression d’avoir perdu mon temps.

Publié dans Livres, roman contemporain

Rédemption

ON NE VOYAIT QUE LE BONHEUR  de  Grégoire DELACOURT
Editions JC Lattès   /   360 pages

Résumé de l’histoire

Ce roman est en 3 parties. Dans les 2 premières, Antoine est le narrateur. Dans la dernière, c’est sa fille Joséphine qui raconte.

Dans la première partie, on découvre Antoine, la quarantaine, qui est expert en assurance. Il parle de son père, André, chimiste, qui travaille dans une pharmacie, prépare des potions, est un bel homme, et toutes les femmes du quartier lui tourne autour.

Il raconte sa vie à la maison, avec sa mère, une femme distante, qui passe son temps à fumer des menthols et à lire Sagan, peu tactile, et qui ne s’occupe pas du tout d’Antoine et encore moins de son mari. Pourtant quelques années plus tard, elle va accoucher de jumelles, Anne et Anna, dont elle ne s’occupera pas beaucoup plus.

Antoine se réjouit de l’arrivée de ses sœurs, espérant jouer et partager avec elles, lui qui se sent très seul. Mais les deux sœurs ont leur propre langage et leurs jeux et elle ignorent complètement Antoine, qui se retrouve encore un peu plus seul. Pourtant, un matin, Anne ne se réveille pas. Et c’est à partir de ce moment là, que Antoine et Anna seront proches pour le restant de leur vie. Mais ils ont perdu leur mère, car suite à ce drame, elle les abandonne et ne donnera plus jamais signe de vie.

Dans la deuxième partie, Antoine nous parle de Nathalie, sa femme, avec qui il se marie, espérant trouver le bonheur. Très rapidement, elle accouche d’un garçon, Léon. Mais malgré cela le couple prend l’eau, Antoine ne s’occupe pas beaucoup de son garçon, reproduisant le schéma de son père, et sa femme délaisse son garçon pour mener une carrière.

Elle se déplace souvent pour son travail, et en profite pour coucher avec tous un tas d’autres hommes. Antoine le sait et ça le rend fou. Nathalie n’est plus très sûre de vouloir passer le reste de sa vie avec lui !! Pourtant elle revient vivre avec son mari et son fils et elle tombe à nouveau enceinte, une grossesse qu’elle mènera à terme, et ainsi arrive Joséphine.

Mais au bout de quelques années, le couple continue à se craqueler, de plus, Antoine perd son travail et sa femme se barre avec les gosses, pour s’installer chez son amant. Pourtant il a obtenu de voir ses enfants régulièrement, mais il est faible, se laisse marcher sur les pieds par tout le monde, et il voit bien que ses enfants auraient voulu un autre père, plus volontaire, qui n’aurait pas hésité à casser la gueule de tous ces gens qui lui font des misères.

Antoine essaie de survivre, mais ne voyant pas de solution à ses problèmes, il décide de commettre l’irréparable, en commençant par sa fille. Je n’en dirai pas plus, pour ne pas tuer le suspens.

Dans la troisième et dernière partie, c’est Joséphine, sa fille, qui est la narratrice. Avec l’aide d’un psy, elle doit mettre ses émotions, et sa colère dans un journal. Elle raconte comment elle voit la vie avec sa mère et son amant. La relation qu’elle a avec son frère. Ses études et ses nouvelles copines.

 

Mon avis

Même si le sujet du roman est difficile, j’ai beaucoup aimé.

Je ne saurai dire pourquoi, mais le style de Delacourt me touche particulièrement. J’aime ses courts chapitres, dont le titre est une somme, expliquée au cours du chapitre.

La vie d’Antoine enfant, est vraiment difficile. Il n’est pas battu, mais sa mère ne l’aime pas et est totalement indifférente à ce qui pourrait lui arriver. Elle ne le prend jamais dans ses bras, ne lui parle presque pas, ne partage rien avec lui et avec son père ce n’est pas beaucoup mieux.

Je ne dis pas cela pour excuser son geste, qui est impardonnable, mais je comprend totalement sa douleur d’être rejeté en permanence, par des parents qui devraient vous aimer, et donc, je peux comprendre son regard sur la vie des autres, totalement désespéré.

 

Note :   4  / 5    voir ses autres romans, un ici et l’autre

 

Publié dans Photos, Projet 52-2015

Projet 52 – Semaine 30 : fraîcheur

J’ai hésité à participer cette semaine au projet photo de Ma, car je n’étais pas très inspirée par le sujet, qui est : fraîcheur. A part une fontaine ou une glace je ne voyais pas trop.

Au final, et au dernier moment je me décide avec des bassins un peu particuliers, mais qui évoque bien la fraîcheur.

Le premier, est le bassin de mon adolescence, j’aime ce bassin en pierre, carré avec sa sculpture qui représente des poissons. En plus, il y a des bancs et c’est un endroit très agréable pour bouquiner dans la fraîcheur.

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Le deuxième, celui qui se trouve derrière la bibliothèque de mon enfance, celle que je fréquente à nouveau. Il a un joli bassin et quand il fait très chaud, on s’assoit sur le bord et l’on trempe ses pieds. Il y a un banc en pierre, en arc de cercle, qui doit bien mesurer 15 m de long, de sorte que l’on ne dérange personne et vice versa.

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Et le dernier, est aussi un bassin qui se trouve près de la discothèque (lieu ou on emprunte des cd et des dvd). Ce bassin est beaucoup plus grand, il y a même parfois des poissons ! et il rafraîchit le restaurant qui se trouve à côté ainsi que les entreprises qui se trouvent dans ce complexe. La boucle en béton, permet de monter vers les entrées des immeubles. La aussi on peut s’asseoir et bouquiner tout à loisir.

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Publié dans les chouchous du moment, musique

Apocalyptica … un autre monde

 

Ceux et celles qui suivent ce blog depuis un moment, commencent à savoir que j’ai des goûts musicaux pour le moins étrange 😉 je peux aimer tout et son contraire, et je peux craquer avec facilité sur n’importe quel genre musical.

En voici une preuve éclatante, avec le groupe Apocalyptica, créé en 1993. Il s’agit de 4 finlandais, qui ont fait une académie de musique classique à Helsinki et pour se diversifier, ils reprennent des chansons du groupe Metallica, mais réarrangés pour le violoncelle. Dis comme ça, c’est étrange, mais quand on les voit et qu’on les écoute … … un truc magique (en tout cas pour moi) se produit car ce sont de véritables virtuoses. Ils ont un look atypique (jeans et t-shirt de hard-rock) mais ils manient leur archet comme des dieux. Ils font aussi des reprises de heavy metal ainsi que des compositions originales.

 

Pour ne pas vous effrayer, un slow, avec une vidéo classique, c’est une reprise d’une très belle chanson de Metallica.

en comparaison, voici l’original de Metallica … je ne suis pas très hard-rock mais je trouvais cette version déjà très belle

maintenant en live, avec un de leur titre le plus célèbre : master of puppets, les voir jouer de leur instrument est un vrai privilège, car manier un violoncelle n’est pas toujours évident et ils sont juste magnifique à contempler.

un autre morceau plus intimiste, en acoustique, une ballade chantée, où l’on peut les voir jouer en parfaite harmonie, et apprécier chaque note, chaque geste.

Les voici dans toutes leur splendeur

 

 

Publié dans Cinéma, mercredi c'est .. sorties ciné

Semaine 30

Pour une fois j’ai hésité à faire une critique, car il y a peu de sorties cette semaine et en plus que des daubes !! Enfin, c’est mon avis personnel et ça n’engage que moi !

Le premier film c’est : pixels, je ne sais même pas dans quelle catégorie le mettre … Mais c’est clairement un film pour les amateurs de jeux vidéos des années 80 avec Mario, Pac-Man et Donkey Kong. Je n’ai pas été convaincue par la bande-annonce. Je déteste Adam Sandler mais par contre il y a Peter Dinklage, celui qui incarne Tyron Lanister dans GOT. Je ne sais pas si ça sauve le film, mais ça fait au moins un personnage sympathique.

L’autre film, c’est : je suis mort mais j’ai des amis. Là encore je n’ai pas été convaincue par la bande-annonce.

Publié dans Cinéma, vu à la télé

Intermédiaire

J’ai enfin réussi à le voir.

La planète des singes 2 : l’affrontement     4/5

J’avoue que ça me fais mal de dire ça, mais c’est un peu le film du milieu, celui qui ne sert pas à grand-chose.

On nous rappelle brièvement ce qui s’est passé dans le premier, à savoir une épidémie que les humains n’arrivent pas à maîtriser et au final 90 % de la population meurt. Par contre les animaux ont un meilleur système immunitaire et ils survivent. En particulier César, avec la troupe des singes qu’il a sauvé.

Depuis l’épidémie, 10 ans ont passé. César est parti habiter dans la forêt de l’autre côté du pont, il a fabriqué des sortes de cabanes pour les siens, ils ont le feu, ils fabriquent des armes pour aller à la chasse, ils chassent en groupe, en réfléchissant, en marchant sur 2 pattes comme les humains, et tous les singes parlent ou au moins utilisent le langage des signes. César a une compagne, qui lui a donné plusieurs fils, certains ont les yeux cerclés d’or, et donc plus intelligent et habile et d’autres non.

Au détour d’un chemin, ils croisent des humains, qui eux habitent de l’autre côté du pont, ils vivent entassés dans une partie de la ville et ils sont fortement armés. Ils doivent aller du côté où les singes habitent pour remettre le barrage en marche et ainsi récupérer de l’électricité. César dans sa grande bonté, va aider les humains et en retour ils doivent les laisser tranquille.

Mais un groupe de singe va dans la ville, voit comment les humains sont armés et ils ont peur de se faire  massacrer. Ils demandent à César la permission de faire la guerre, il n’est pas d’accord, alors il est abattu, il y a un nouveau chef et ils attaquent la ville.

Seulement le scientifique qui est venu réparer le barrage et son groupe, retrouve César, il est blessé mais pas mort et il l’emmène en ville pour le soigner et qu’il fasse entendre raison à son groupe. Il y aura une grande bataille que César gagnera, mais il semblerait que les humains aient eu le temps de communiquer avec l’armée qui doit venir les aider. Cela laisse entendre un troisième film où la guerre sera ouverte.

Dans ce volet, il se passe peut de choses, on voit simplement la vie des singes d’un côté et les humains de l’autre. On sent que tout se dénouera dans le dernier volet.

Par contre, les effets spéciaux sont toujours magnifiques, tant pour les décors que pour les singes. Donc un peu déçue mais pas tant que ça au final.

Publié dans bd, Livres

La vie d’une trentenaire

J’AURAI ADORE ETRE ETHNOLOGUE  de  Margaux MOTIN
Editions Marabulles   /   168 pages

 

Résumé de l’histoire (4ème de couverture)

Ce livre décrit de façon humoristique les aventures parentales, professionnelles et ‘modesques’ de Margaux Motin. 

Cette trentenaire doit menée de front sa vie de femme mariée à un fan de jeux vidéo qui ne comprend décidément rien à la mode, son rôle de jeune maman d’une petite fille adorable mais envahissante, et sa carrière d’illustratrice freelance décontractée mais désespérément solitaire. La chronique tendre et drôle d’une femme moderne.

 

Mon avis

J’ai passé un excellent moment à découvrir Margaux. Un joli coup de crayon, une galerie impressionnante de chaussures, un mec adorable qui parfois peine à comprendre sa chérie, mais s’accroche.

Des gags courts et percutants où elle raconte sa vie de maman, d’amoureuse, elle parle aussi de sa carrière d’illustratrice freelance, des ses copines (celles qui ont des gosses comme elle, et les autres, celles qui s’amusent et prennent des apéros !).

 

Mais qui est-elle ? Portrait

Margaux Motin est illustratrice free lance et travaille pour la presse, l’édition et la publicité.

Après avoir fait ses débuts chez Muteen dans la rubrique J’ai testé, elle signe ensuite ses illustrations pour la presse, l’édition ou encore la pub.

J’aurai adoré être ethnologue est sa première BD, recueil de dessins de son blog et d’inédits. 

 

Note :   4  / 5