Publié dans Bla-bla-bla, Juste moi

Blog en pause forcée

221

Bonjour à tous !

Si je ne suis plus sur le blog en ce moment, ce n’est pas parce que je fais la tête,  mais plutôt parce que j’ai cassé mes deux bras !

J’ai perdu le contrôle de mes pieds et me suis retrouvée par terre, mains en avant… crac, que ça a fait ! 😦

J’ai perdu la maîtrise… ambulance, urgences, opérations…

Une semaine d’hôpital plus tard, je viens de rentrer chez moi, mais un plâtre complet à droite et un gantelet à gauche… comment dire… ce n’est bien pratique !

La suite de mon voyage chez les handicapés… bientôt, dès que je pourrais à nouveau me servir de mes mains… au moins pour vous faire des coucous 😉

Publié dans Livres, roman policier, thriller

L’intelligence artificielle

L’ULTIME SECRET  de  Bernard WERBER
Editions Albin Michel  /  410 pages

Résumé de l’histoire (4ème de couverture)

Il y a 2 millions d’années : le cerveau humain conçoit l’outil qui démultiplie son efficacité.

Il y a 50 ans : il élabore les premiers programmes d’intelligence artificielle.

Il y a 5 ans : les machines arrivent à penser seules.

Il y a une semaine : un cerveau humain aidé d’un ordinateur accède à « l’ultime secret ».

 

Mon avis

Il est toujours difficile de résumé un roman de Bernard Werber, surtout que je ne l’avais plus lu depuis au moins 15 ans.

Ce roman a été crée à partir de l’histoire vraie de Jean-Dominique Bauby, qui est victime de la maladie de LIS et qui à l’aide de son œil valide et d’un ordinateur a réussi à écrire un livre : le scaphandre et le papillon.

Werber invente une histoire à partir de cette base. Celle d’un homme ordinaire, fonctionnaire, avec femme et enfant, passionné d’échecs, qui un soir se fait renverser par une voiture. Il  ne meurt pas, mais devient presque un légume.

Il rencontre un chercheur de génie, qui le prend pour cobaye, lui greffe une puce dans le cerveau et lui donne un ordinateur afin qu’il puisse communiquer. Ensuite par le biais d’internet il peut se cultiver. Mais pas que ça. Il peut entrer dans n’importe quelle base de données : la police, les caméras de surveillance, les comptes bancaires. Il recherche la personne qui l’a renversé afin de se venger, et avec les connaissances, il changera d’avis et passera à autre chose.

On retrouve Lucrèce Nemrod, journaliste qui va à nouveau travailler avec Isidore Katzenberg, un ancien policier et ils vont mener l’enquête pour savoir pourquoi et comment est mort le chercheur.

J’ai retrouvé ce que j’aime tant chez Werber, des chapitres courts, qui, à mon sens, donne un bon rythme au roman, on n’a plus envie de le lâcher.

 

Note :   4  / 5    un recueil de nouvelles ici

 

Publié dans Photos, Projet 52-2016-Ma

Projet photo de Ma : fromage

Pour cette nouvelle semaine, Ma nous demande d’illustrer le mot : fromage.  

J’ai eu la grande chance en me promenant cette semaine, de trouver une « vraie » fromagerie dans la commune de Carouge, à Genève, tenue par une jeune fille dynamique, souriante et aimant son métier. Ce fût un vrai bonheur de passer un moment avec elle.

Tout d’abord une vue d’ensemble

IMG_0230

Ensuite, des fromages de toutes les formes, au lait de vache ou de chèvre

IMG_0225

IMG_0227

Le top, des macarons au fromage

IMG_0224

Les objets anciens que le laitier utilisait

IMG_0229

Et le plus important : la carte de visite

IMG_0238IMG_0240

Publié dans Photos, Projet 52-2016-hibou

Projet photo du hibou : forme

Par cette semaine neigeuse, le hibou nous demande de mettre en image, le mot : forme. Et je me suis souvenue d’une vieille répartie dans années 80, où quand on avait le malheur de dire : je suis en forme, l’autre disait : oui, mais en forme de quoi ? Je sais, c’est une vieille blague et elle ne fait plus rire personne depuis longtemps.

Donc, pour en revenir au mot forme, j’ai eu un peu de peine, j’ai d’abord penser : être en forme, donc sport, donc fitness … bof.

Au final, j’ai photographié une sculpture, dont je ne sais pas ce qu’elle représente, mais elle a une jolie forme 😉 Je sais, j’aurai pu la prendre de face, mais j’avais peur de mouiller mon appareil photo.

IMG_0231

Publié dans les pas finis, Livres

Un flop

HOME   de   Toni MORRISON
Editions Christian Bourgois   /   152 pages

 

Résumé de l’histoire

L’Amérique des années 1950, et l’histoire de Franck Money, un black, qui vient de rentrer de la guerre, et qui tente de retrouver sa famille et surtout sa sœur Cee, tout en subissant le racisme ambiant.

 

Mon avis

Je sais que partout ce roman est considéré comme un chef d’œuvre ! Malheureusement je n’ai pas accroché. Ni à l’écriture, ni aux personnages auxquels je n’ai pas réussi à m’attacher, ni à la période.

Pour moi un flop, et je suis déçue car j’avais lu des tas de billets alléchants qui m’avaient poussé à le prendre à la bibliothèque.

 

Note :  pas fini – abandon page 64

Publié dans Photos, Projet 52-2016-hibou

Projet photo du hibou : Nuage

Cette semaine le hibou nous demande d’illustrer le mot : nuage, ce qui au demeurant est assez simple, sauf que cette semaine il a fait gris très souvent et un jour un ciel bleu magnifique .. et sans nuage ! Donc une fois n’est pas coutume, j’ai été pioché dans ma réserve de photo.

La première est une photo de 2015, donc très récente, et j’adore quand le ciel « moutonne » de cette façon, on dirait qu’ils partent en vacances.

IMG_0022

Et la deuxième est une photo de 2014, j’aime tous ces contrastes de bleu entre le ciel et la montgolfière et ce petit nuage perdu au milieu de tout ce bleu.

20140717_184705

Publié dans Photos, Projet 52-2016-Ma

Projet photo de Ma : légume

Pour cette nouvelle semaine du projet photo de Ma, nous devons illustrer le mot : légume et cette fois encore ce ne fût pas trop compliqué. J’ai farfouillé dans mon frigo et j’ai fais avec ce que j’avais en rayon.

Je suis un peu comme une gosse et je n’aime que certaines catégories de couleur ! En hiver c’est le blanc pour le choux-fleur, le vert qui comprend : courgette, épinard et brocolis.

Ce que je voudrais tenter, c’est de cuisiner les anciens légumes comme : le panet, le navet, le topinambour, histoire de varier les goûts et les couleurs.

IMG_0216

Publié dans Cinéma, séries en vrac

Candice Renoir

Pour une fois, je vais parler d’une série policière française pas trop mal réussie, il s’agit de Candice Renoir. Il y a déjà 3 saisons qui sont passées à la télévision, une 4ème est en préparation. Ci-dessous, Candice et son équipe.

Le rôle de Candice est tenu par Cécile Bois, qui m’était totalement inconnue. Je vais faire un résumé sommaire, car j’ai commencé à voir cette série il y a 3 ans. A mon avis la première saison est la plus sympa, le côté personnel du personnage de Candice est bien réussi, par contre au niveau des enquêtes, elles sont assez simplettes.

Saison 1 – 8 épisodes en 2013

On découvre le personnage de Candice, policière de 40 ans, 4 enfants, quelques kilos en trop, qui a vécu à l’étranger pendant 10 ans, car elle a suivi son mari dans ses différentes mutations. Elle est en plein divorce, et revient à Sète avec ses enfants, afin de reprendre un poste de commandant, soufflant la place au capitaine Antoine Dumas.

Reprendre une vie active à plein temps, n’est pas simple, les enfants sont terribles, le travail difficile et il règne une mauvaise ambiance entre Candice et son équipe. Mais au fil des épisodes, les tensions vont se calmer.

Dans cette première saison, le personnage de Candice est frais, elle ressemble à une femme de notre époque, faisant de son mieux entre famille et travail.

Saison 2 – 10 épisodes en 2014

Dans cette saison, Candice commence enfin à se faire respecter par son équipe, et côté privé, son voisin lui fait la cour de façon très assidue et elle commence une relation avec cet homme. Mais quand il la presse pour vivre avec lui elle met de la distance entre eux et au cours du dernier épisode, il renonce à elle et il déménage.

Saison 3 – 10 épisodes en 2015

Maintenant l’équipe est très soudée, les enquêtes sont un peu plus péchues, durent sur plusieurs épisodes, et le groupe de Candice fait de l’infiltration et travaille avec un autre département, la BAC.

Candice tombe amoureuse du patron de la BAC qui a le style mauvais garçon et un fort caractère. Ils se disputent souvent, personne ne voulant s’excuser. Par dessus, son ex-mari revient avec la ferme intention de la reconquérir, et il décide d’habiter dans la même ville que Candice.

Publié dans Cinéma, mercredi c'est .. sorties ciné

Semaine 5

Cette semaine il y a pléthore de nouveautés, avec 7, oui je dis bien 7, nouveaux films. Pourtant rien ne trouve grâce à mes yeux, il y a pourtant 2 remake, 2 biopic, et 3 comédies qui sont en fait des navets, du moins la bande-annonce ne donne pas envie.

Le premier remake est celui de Heidi, qui ressemble exactement à la série des années 80 que j’ai vu étant enfant, donc pas très intéressant. L’autre remake c’est celui de Point Break, un film de 1991, et d’après les critiques, il y a tellement de scènes de snowboard, surf, escalade ou motocross qu’on dirait que c’est sorti d’une « nuit de la glisse » et ça ne laisse pas beaucoup de place à l’intrigue.

Côté biopic, il y a : Steve Jobs, et le film parle de trois moments importants de sa vie, mais comme j’ai déjà vu l’autre biopic, je ne suis pas trop tentée. Le deuxième biopic, c’est le parcours du clown Chocolat, au début des années 1900, avec dans ce rôle Omar Sy, que j’adore, mais par contre je déteste les histoires de clown, donc je ferais l’impasse.

Pour les comédies, je vais commencer par : Alvin et les Chipmunks : à fond la caisse, autant j’avais aimé le premier film, au bout de 4, je trouve ça répétitif et réchauffé.

Ensuite il y a le navet américain avec : Dirty Papy joué par De Niro, film où il vient de perdre sa femme et décide d’aller festoyer en Floride avec son petit-fils qui est sur le point de se marier. Le langage est passablement vulgaire et ordurier, car papy nous répète à tout bout de champ qu’il veut baiser !  Je crois que De Niro aurait dû s’abstenir.

Et pour terminer le navet français avec : Les Tuches 2 – le rêve américain. Je crois que ça se passe de commentaires !

Je ne pensais qu’il y aurait autant de mauvais films dans la même semaine ! Enfin, peut être que d’autres trouveront leur compte. Du coup, pas d’extrait.

Publié dans Livres, roman contemporain

Rêverie indienne

LA PETITE BOUTIQUE DES REVES  de  Roopa FAROOKI
Editions Gaia   /   363 pages

Résumé de l’histoire

On suit la vie de Lucky, 14 ans, un ado qui rêve de faire gagner la coupe du monde de foot à son équipe et peut être même de devenir pro. C’est une année charnière, que ce soit pour l’école, le foot ou le fait qu’il se demande comment devenir le copain de Portia.

Son père Jinan, d’origine bangladaise, est un brillant avocat. Mais bien sûr il est très occupé et ne s’occupe pas beaucoup de sa femme et son fils, préférant gagner des millions.

Sa mère Delphine, est française et après une belle carrière dans le marketing, elle a arrêté de travailler pour s’occuper de Lucky et aussi car l’argent coule à flot. Mais voilà, elle s’ennuie, n’ayant rien à faire à part du shooping, du sport et ressassé des idées noires.

Avant d’épouser Jinan, elle a été la maîtresse de son père et ils avaient une vie totalement différente. Joyeuse, pleine d’imprévu et Zaki avait le don de la surprendre. Dans un moment de détresse et d’ennui, elle aimerait redevenir la maîtresse de Zaki.

Va-t-elle franchir le pas ? Quelles en seront les conséquences pour son mari et son fils ?

Lucky va-t-il être sélectionné dans une grande équipe anglaise ? Va-t-il devenir l’amoureux de Portia et avec quelles conséquences ?

 

Mon avis

Je découvrais cette romancière pour la première fois, surtout grâce à la couverture du roman que je trouve magnifique. C’est un roman doudou mais pas cu-cul !

Une belle écriture, légère, agréable. J’ai aimé découvrir tous les membres de cette famille, ils sont attachants et l’histoire a des rebondissements assez inattendus.

En refermant ce roman, j’ai eu de la peine à me séparer de cette famille.

Citation de Oscar Wilde à méditer : Dans ce monde, il n’y a que deux tragédie. La première est de ne pas obtenir ce que l’on veut, et la seconde est de l’obtenir.

 

Note :   4  / 5 

 

Mais qui est-elle ? Portrait

Roopa Farooki est née au Pakistan en 1974, d’un père pakistanais et d’une mère bengali. Elle déménage au Royaume-Uni à l’âge de 7 mois, et grandit dans le centre de Londres. Elle partage sa vie entre le sud de l’Angleterre et le sud-ouest de la France.

Après le bel accueil de son premier roman : le choix de Goldie, voici le second : la petite boutique des rêves.