Publié dans Juste moi, mon moral vu de ma fenêtre

Retour sur avril

Un brin de muguet pour démarrer ce week-end 🌸🌼🌻🌺👍😁
#fleurs #muguet #soleil

Encore un mois qui passe à toute vitesse … une météo chaotique qui joue sur mon moral … des fêtes de Pâques sans surprise … s’acheter du muguet odorant … un passage à vide au milieu du mois … avoir du mal à supporter les rafales de bise à 30 km/heure … avoir mal de voir les arbres se tordre devant ma fenêtre … avoir été deux ou trois fois au parc pour lire … profiter un peu du soleil.

Mon nouveau sac à main qui se met en mode printemps 😀
#sacamain #bagage #desigual

Se balader dans les magasins … craquer pour un nouveau sac à main … Desigual et ses jolies couleurs … encore tomber sur un relou … être fatiguée de toujours devoir faire le premier pas … s’entendre demander avant le premier rv : tu vas m’inviter où et m’acheter quoi ?? .. c’est quand que les hommes deviennent mature ? … les hommes de 40 ans et plus ont disparu …ou alors ils préfèrent des nénettes de 20 ans … les hommes aussi mentent sur leur âge ! … bref, désillusion en pagaille.

Bilan du mois d'avril - une semaine sans marcher et cela se ressent sur la moyenne 😐😐
#fitbit ##fitbitone #fitness #marche #etreenbonnesante

Côté sport une baisse de régime … il manque 25 km pour atteindre l’objectif ! … par contre, sensiblement augmenté les escaliers … mais j’ai bon espoir de marcher 100 km ce mois ci … bientôt recommencer le vélo … trouver un programme gratuit de sport … avec coach personnel … peut être même faire les exercices dehors.

Publié dans Cinéma, mercredi c'est .. sorties ciné

Semaine 17

Cette semaine j’ai retenu trois films à base historique, des histoires difficiles qui sont toutes basées sur des histoires vraies. Je fais l’impasse sur les deux « comédies », à savoir « les gardiens de la galaxie 2 » de la sf de l’univers Marvel et « jour j » encore une histoire sur le thème de l’infidélité.

Pour le premier biopic, il s’agit de : Django, qui parle du musicien tsigane Django Reinhardt pendant la période de l’Occupation, avec Reda Kateb qui joue ce rôle difficile.

Le second est un film historique : the birth of a nation, qui se passe 30 ans avant la guerre de Sécession et qui met en avant un prédicateur, Nat Turner qui est un esclave cultivé et ses prêches doivent assujettir les esclaves indisciplinés. Mais devant les atrocités commises, Nat conçoit un plan qui pourrait libérer son peuple.

On termine avec un dernier biopic : le procès du siècle, tiré de l’histoire de Deborah Lipstadt, historienne et auteure reconnue, qui est confronté à l’universitaire David Irving, avocat de thèses controversées sur le nazisme. Il assigne Lipstadt en justice et elle se retrouve dans la position aberrante de devoir prouver l’existence des chambres à gaz.

Publié dans Livres, roman contemporain

Ça partait d’un bon sentiment

LE PEIGNE DE CLEOPATRE  de  Maria ERNESTAM
Editions Gaïa    /  318   pages

 

Résumé de l’histoire (4ème de couverture)

Mari, Anna et Fredrik, trois amis de longue date, ont monté une société au doux nom du Peigne de Cléopâtre. Leur créneau : résoudre les problèmes des gens. Chacun apporte ses compétences, qui en jardinage, qui en déco d’intérieur ou en comptabilité … et la PME se développe avec succès.

Chacun patauge quelque peu dans sa propre existence, en quête d’identité ou d’âme sœur, et trouve un réconfort non négligeable dans l’idée de venir en aide à autrui.

Jusqu’au jour où une vieille dame se présente avec une étrange requête : elle souhaite que le peigne de Cléopâtre élimine son mari. Difficile de résister à un filon qui promet d’être lucratif, et les candidats se bousculent bientôt au portillon.

Mon avis

Un roman agréable à lire mais un peu moins bon que le précédent. Il est difficile de parler de l’histoire sans révéler une partie du pitch. Il donne beaucoup à réfléchir au niveau de l’éthique, mais la fin est un peu brouillon.

Peut on faire tuer son mari, son prétexte qu’il vous a pourri la vie pendant 50 ans, qu’il vous a rudoyé, parfois battue, souvent trompée ? Une fois la décision prise, il faudra vivre avec son choix sur la conscience pour le restant de sa vie.

Mais qui est-elle ? Portrait

Résultat de recherche d'images pour "maria ernestam écrivain"

Maria Ernestam est suédoise et vit à Stockholm. Eclectique, elle a multiplié les expériences artistiques : chanteuse, danseuse, mannequin, comédienne, journaliste et auteur.

Ce roman est son troisième livre, après Toujours avec toi en 2010 et les Oreilles de Buster en 2011.

Note :  3   / 5 

Publié dans à suivre, musique

Entre jazz et blues

Résultat de recherche d'images pour "norah jones 2016"

Voici une chanteuse que j’ai découvert il y a quelques années, et j’ai tout de suite été envoûtée par sa voix mielleuse légèrement rauque. Je peux écouter Norah Jones pendant des heures sans me lasser. J’aime ce mélange blues et jazzy et c’est étonnant car je n’aime pas trop le jazz, mais là ça passe tout seul.

Norah Jones est une chanteuse, musicienne et actrice américaine née le 30 mars 1979 à New York. Elle est l’une des filles du célèbre joueur de sitar indien Ravi Shankar, de la productrice américaine Sue Jones, et la demi-sœur de la joueuse de sitar Anoushka Shankar. Son œuvre est associée au courant du jazz vocal.

La carrière de Norah Jones est lancée en 2002, à l’âge de 22 ans, avec la sortie de son premier album, Come Away with Me, qui se vend à plus de 20 millions d’exemplaires. La chanteuse reçoit cinq Grammy Awards pour cet album, dont celui de la « meilleure nouvelle artiste ».

Son second album, Feels like Home, sort en 2004,

son troisième album, Not Too Late, sort en 2007

The Fall – quatrième opus – en 2009.

Norah Jones a vendu plus de 40 millions d’albums dans le monde entier. Little Broken Hearts, cinquième album de Jones, est sorti en avril 2012.

Au final difficile de choisir une chanson plutôt qu’une autre puisque je les aime toutes. Je peux écouter ses 4 premiers albums en boucle pendant des jours sans me lasser. Je ne connais pas encore l’album de 2012 n’ayant pas eu l’occasion de l’écouter.

Publié dans Cinéma, séries en vrac

The affair – saison 2

Résultat de recherche d'images pour "the affair saison 2"

Voici enfin la suite de la série : the affair, la saison 2. Je sais déjà qu’il y a une 3ème saison qui est passée sur Canal + en début d’année.

Résumé de la saison 1 ici.

Cette fois ci, c’est une histoire à quatre voix entre Noah, Alison, Cole l’ex de Alison et Helen l’ex de Noah. Elle se passe dans un tribunal, Noah est accusé d’avoir renversé et tué un homme et ensuite s’être enfui. Grâce aux flash-back des 4 protagonistes on voit ce qui s’est passé dans leur vie les 18 derniers mois.

Dans chaque épisode, il y a deux intervenants qui raconte le même événement dans la même période, comme pour la première saison. Sans trop spoiler ça donne ça.

Noah : il se sépare de sa femme Helen, quitte le domicile conjugal pour vivre avec Alison et il entame une procédure de divorce houleuse avec Helen. Dans un premier temps, ils vivent dans un petit chalet et Noah écrit son roman. Dès sa sortie, il fait un malheur, vendant des milliers d’exemplaires d’un roman controversé qui raconte sa rencontre avec Alison et sa famille à Montauk ainsi que les secrets des habitants et il fait passer Alison pour une nymphomane.

Mais très vite sa relation avec Alison devient tendue, il est souvent de mauvaise humeur et le couple se dispute sans cesse, car Noah fait une tournée à travers l’Amérique pour faire des lectures de son roman et des séances de signature, ce qui fait qu’il passe peu de temps avec Alison qui se sent abandonné. Ils doivent faire une thérapie de couple pour essayer de surmonter tout ça. De plus, Alison est enceinte ce qui n’arrange pas trop Noah déjà père de 4 enfants, et ça l’entrave dans ses projets d’écriture d’avoir un bébé sur les bras.

Alison : elle se sent très vite délaissée par Noah, vivant la plupart du temps toute seule dans leur appartement. Elle décide donc de reprendre des études de médecine. Elle se cherche. Sa grossesse ne l’enchante pas plus que ça, car elle ne sait pas qui est le père. Il peut être de Noah comme de Cole son ancien mari, et on va venir lui mettre la pression jusqu’à la faire chanter. De plus, les enfants de Noah sont abjectes avec elle, lui faisant vivre un enfer.

Cole : il est effondré par le départ de sa femme, Alison, et il part à la dérive, il boit plus que de raison et n’a pas de véritable but dans la vie. Il ne voit plus sa famille non plus. Mais son destin change, quand il retombe amoureux d’une latino qui travaille pour son frère Scott. Le seul hic, c’est que cette femme ne peut plus avoir d’enfant, alors que c’est le plus grand désir de Cole, mais il finira par l’épouser quand même, car elle apporte de l’équilibre à sa vie.

Helen :  Elle est dans la tourmente avec son divorce qui se passe mal, ses enfants toujours malades, et cerise sur le gâteau sa mère vient habiter avec eux, car il y a de l’eau dans le gaz avec son mari. Elle est tellement sous pression qu’elle lâche prise, se met à flirter avec le premier venu, se bourre la gueule, prend de la drogue et se fait épingler par les flics, oublie d’aller chercher les gosses à l’école, etc. Mais finalement elle va accepter la situation.

Bref, tous les épisodes sont sous haute tension, totalement addictif et l’on se demande bien comment la situation pourrait encore empirer. Je continue d’être fan de cette série et de ses acteurs. J’ai hâte de voir la saison 3.

Résultat de recherche d'images pour "the affair saison 2"

Publié dans Cinéma, mercredi c'est .. sorties ciné

Semaine 16

Cette semaine je ne parlerai que de 3 films, dans des genres très différents.

D’abord le film familial, avec Dennis Quaid : mes vies de chien. L’histoire d’un chiot, Bailey qui partage la vie d’Ethan, un garçon de 8 ans, mais 10 ans plus tard, Bailey arrive au bout de sa vie et Ethan doit se résoudre à le laisser partir. Mais Bailey revient, sous différentes races de chien, peut être pour une raison précise ? A voir en dvd assurément. La bande-annonce est charmante.

Ensuite un film engagé sur le mariage forcé avec : noces. L’histoire de Zahira d’origine pakistanaise et qui vit en Belgique. Ses parents lui impose un mariage traditionnel, mais Zahira refuse. La bande-annonce donne envie, malgré le sujet difficile.

Et pour terminer, une comédie française sur un fait d’actualité : sous le même toit avec Gilles Lellouche et Denise Bourgoin, qui évoque les couples divorcés mais qui, pour diverses raisons, sont obligées de continuer à vivre dans le même appartement. La bande-annonce est très explicite 😉

Publié dans les pas finis, Livres, roman policier, thriller

Un flop …

LES ANONYMES  de  R. J. ELLORY
Editions Le livre de poche   /   730 pages

Résumé de l’histoire (4ème de couverture)

Washington. Quatre meurtres aux modes opératoires identiques. La marque d’un serial killer de toute évidence. Une enquête presque classique donc pour l’inspecteur Miller. Jusqu’au moment où il découvre qu’une des victimes vivait sous une fausse identité. Qui était-elle réellement ?

Et ce qui semblait être une affaire banale, va conduire Miller jusqu’au secrets les mieux gardés du gouvernement américain.

Une fois encore, Ellory pousse le thriller dans ses retranchements. Ici il imagine une intrigue magistrale, qui plonge au cœur du système politique américain.

Mon avis

A mon grand désespoir je n’ai pas accroché à ce roman, alors qu’il avait tous les ingrédients pour me plaire. J’ai mis presque un mois pour lire 270 pages et ensuite j’ai abandonné, car j’avais toutes les peines à entrer dans le roman et à m’attacher aux personnages.

En plus, le système politique américain me laisse de marbre et j’ai toujours eu de la peine avec les histoires du F.B.I et des agents secrets.

Mais comme j’avais beaucoup aimé son roman Mauvaise étoile, j’avais décidé d’en lire d’autres du même auteur. Avec celui-ci c’est un raté, mais je tenterai plus tard avec un autre titre. Je crois que là c’est juste le type d’histoire qui ne m’a pas convenu.

Note :   pas terminé

Un autre flop 

 

Publié dans Cinéma, séries en vrac

Berlin 56 / Ku’damm 56

Je suis avec beaucoup d’intérêt les mini-séries qui passent sur Arte, car elles sont d’une très bonne qualité. Ces derniers mois, j’ai vu des séries belges, anglaises, suédoises ou norvégienne, mais cette fois ci j’ai vu une série allemande, bien qu’en règle général je n’aime pas trop ce style trop rigide à mon goût.

J’ai donc découvert la série Berlin 56 en français et Ku’damm 56 en allemand, qui est le nom d’une artère mythique l’équivalent des Champs-Elysées. Ce n’est pas mon genre de série préférée, mais je l’ai trouvée très intéressante et bien documentée et je me suis finalement attachée aux protagonistes.

On suit donc la vie après guerre, de la famille Schöllack, dirigée d’une main de fer par la mère Caterina, dont l’unique but est de marier ses 3 filles et de diriger son école de danse de salon, après la disparition de son mari pendant la guerre. On nous laisse entendre qu’il a été fait prisonnier dans un camp de travail, mais il n’est toujours pas revenu.

Il y a la fille aînée Helga qui se marie avec Wolfgang, un jeune avocat prometteur qui est promit à de hautes fonctions. Mais bientôt Helga va découvrir la face sombre de son mari, violence conjugale, jalousie et homosexualité, alors que Helga est très rigide et vieille école.

Il y a Eva, calculatrice, qui est infirmière en psychiatrie, qui veut être dans la bonne société, au point de séduire son patron bien plus vieux qu’elle. Mais voici qu’elle est courtisée par le mari d’une de ses patientes et qu’elle entame une liaison torride. Son cœur balance, lequel choisir ? Et quelles seront les conséquences de ses actes ?

Et il y a la benjamine Monika, peut être la moins jolie, un peu grassouillette à lunette, qui vient de se faire renvoyer de son école ménagère. Elle décide donc d’enseigner la danse dans l’école de sa mère, mais elle est fortement attirée par les nouvelles danses : le rock, le tchatcha, le mambo et sa mère ne voit pas ça d’un très bon oeil. Sa mère veut la marier à Joachim, un fils de bonne famille, mais Monika découvre la sexualité avec Freddy, un juif ayant échappé aux camps et avec qui elle danse le rock et s’entraîne pour le 1er championnat de rock de Berlin.

La mère, Caterina, devra affronter son passé, expliquer comment elle a obtenu son école de danse, son amant qui est le père d’une de ses filles. Et les filles devront faire des choix de vie.

Certains passages font froid dans le dos, comme les électrochocs comme base de thérapie à l’hystérie et à la dépression, et les médecins qui sont en fait d’anciens médecins nasi faisant des essais sur des cobayes humains !

Il y aura une suite, sous le titre de Berlin 59 qui devrait sortir d’ici peu.   

Publié dans Cinéma, mercredi c'est .. sorties ciné

Semaine 15

Semaine de Pâques oblige, il y a très peu de sorties intéressantes, donc service minimum.

Le seul film que je suis sûre de suivre, c’est Fast & Furious 8, pour les acteurs mais aussi pour les cascades hors normes, même si le scénario est assez faiblard.

Pour la comédie française : c’est beau la vie quand on y pense, avec Gérard Jugnot, je le verrai lors de son passage télé, car il évoque le don d’organe, qui est un sujet d’actualité, mais la bande-annonce ne m’a pas plus intéressée que ça.

Pour terminer, je ferai l’impasse sur le 2ème volet de Boule et Bill, car je n’étais pas intéressée par le premier volume et je déteste Franck Dubosc et donc je boycotte tous ses films.

Publié dans Cinéma, séries en vrac

Big little lies

Résultat de recherche d'images pour "big little lies"

Big Little Lies, ou Petits secrets, grands mensonges au Québec, est une mini-série américaine en sept épisodes de 60 minutes, basé sur le roman Petits secrets, grands mensonges de Liane Moriarty.

Le pitch : Madeline Martha Mackenzie est une mère de famille à la vie apparemment parfaite. Elle rencontre le jour de la rentrée Jane Chapman, la mère célibataire d’un petit garçon. Elle lui fait rencontrer sa meilleure amie, Celeste Wright, une femme d’apparence fragile, et les trois femmes se lient d’amitié.

Mais à la fin de la rentrée, un accident se produit. Ziggy, le fils de Jane, aurait étranglé la fille de l’une des mères les plus influentes de l’école. Cet accident qui semble pourtant sans conséquence va bousculer le quotidien de la petite ville de Monterey jusqu’au jour où un meurtre se produit lors d’une soirée pour l’école.

Autant vous le dire tout de suite, j’ai a-do-ré cette série ! D’abord le casting envoie du lourd avec Reese Witherspoon, Nicole Kidman, Zoé Kravitz et Shailene Woodley. La play liste qui passe tout au long des épisodes est superbe ainsi que le générique qui est tiré d’une chanson de Michael Kiwanuka, que je vous mets en fin d’article.

Je trouve que la façon dont l’histoire est racontée très originale. On démarre par la fin. La police est là, il vient d’avoir un meurtre ou un accident. Ensuite, la police interroge les habitants de Monterey qui participaient à cette fête. Et tout en flash back, on découvre les trois femmes fortes de l’histoire.

Il y a Reese Witherspoon qui joue Madeline Mackenzie, une femme dans la trentaine, qui ne travaille plus, à part bénévolement pour le théâtre de la ville. Elle a une fille adolescente d’un premier mariage avec qui elle se dispute constamment. Elle a beau être séparée de son premier mari depuis 15 ans, elle n’arrive pas à passer à autre chose, car elle le croise tout le temps et elle déteste sa nouvelle femme, jouée par Zoé Kravitz, jolie et bien plus jeune qu’elle.

Ensuite, il y a Nicole Kidman qui joue Céleste Wright, la quarantaine, mère au foyer de jumeaux turbulents, ancienne avocate, qui semble très éprise de son mari. Mais au fil de l’histoire, on se rend compte que son époux est un pervers narcissique, il lui interdit de travailler, de voir des amis, l’a séparée de sa famille en l’emmenant vivre à Monterey. Il la frappe régulièrement et ils décident de suivre une thérapie de couple. Cela va beaucoup aider Céleste à accepter ce qui lui arrive.

Et pour terminer le trio, il y a Shailene Woodley qui joue Jane Chapman, la vingtaine, mère célibataire d’un petit garçon timide. Jane est étrange et il est évident qu’elle a un secret, que l’on devine assez vite. Elle vit à Monterey depuis peu, venue pour échapper à ses démons, elle habite un petit appartement en bord de mer.

Sur un incident, ces trois là vont devenir les meilleures amies du monde, se serrer les coudes, se protéger mutuellement.

Cette série évoque très bien ce que vivent les femmes du XXI siècle. Il y a une guerre des nerfs entre les femmes au foyer et les wonder womans qui ont souvent des postes à responsabilité. On évoque des clichés, les femmes au foyer font du yoga, se baladent et boivent des cafés en terrasse et les wonder womans sont de mauvaises mères car elles aiment leur travail et ont des bonnes à domicile pour gérer la maison, les courses et les enfants. Tout est dans le paraître. Une fête d’anniversaire ne peut pas être réussie si toute l’école ne vient pas, et il faut un clown, un chapiteau, des chevaux, etc alors que la gamine a juste 6 ans !

Il n’y aura pas de saison 2, puisque l’affaire est résolue à la fin de la saison 1.

Mais j’ai aimé voir ces actrices dans une mini-série de qualité.