LE PEIGNE DE CLEOPATRE de Maria ERNESTAM
Editions Gaïa / 318 pages
Résumé de l’histoire (4ème de couverture)
Mari, Anna et Fredrik, trois amis de longue date, ont monté une société au doux nom du Peigne de Cléopâtre. Leur créneau : résoudre les problèmes des gens. Chacun apporte ses compétences, qui en jardinage, qui en déco d’intérieur ou en comptabilité … et la PME se développe avec succès.
Chacun patauge quelque peu dans sa propre existence, en quête d’identité ou d’âme sœur, et trouve un réconfort non négligeable dans l’idée de venir en aide à autrui.
Jusqu’au jour où une vieille dame se présente avec une étrange requête : elle souhaite que le peigne de Cléopâtre élimine son mari. Difficile de résister à un filon qui promet d’être lucratif, et les candidats se bousculent bientôt au portillon.
Mon avis
Un roman agréable à lire mais un peu moins bon que le précédent. Il est difficile de parler de l’histoire sans révéler une partie du pitch. Il donne beaucoup à réfléchir au niveau de l’éthique, mais la fin est un peu brouillon.
Peut on faire tuer son mari, son prétexte qu’il vous a pourri la vie pendant 50 ans, qu’il vous a rudoyé, parfois battue, souvent trompée ? Une fois la décision prise, il faudra vivre avec son choix sur la conscience pour le restant de sa vie.
Mais qui est-elle ? Portrait
Maria Ernestam est suédoise et vit à Stockholm. Eclectique, elle a multiplié les expériences artistiques : chanteuse, danseuse, mannequin, comédienne, journaliste et auteur.
Ce roman est son troisième livre, après Toujours avec toi en 2010 et les Oreilles de Buster en 2011.
Note : 3 / 5