Publié dans Bla-bla-bla, Juste moi, Livres

Bilan 2018 : livres et séries

Voici venu le temps des bilans et le mien est assez maigre.

Côté lecture, j’ai lu 15 romans et eu 5 abandons, notamment des recueils de nouvelles qui ne m’ont pas plus inspirés que ça.

Depuis quelques années, je me rends compte que j’ai beaucoup de peine à me concentrer plus de 30 minutes sur une lecture, donc au final pour un roman de 300 pages il me faut au moins 2 semaines de lecture ! Je lis essentiellement le soir, avant de dormir, et ces dernières années je suis si fatiguée qu’au bout de 4 ou 5 pages je m’endors comme une masse ! A ce rythme là, il me faut des semaines pour lire un bouquin. J’en arrive à penser que lire le soir n’est pas bénéfique pour moi, mais je ne vois pas trop quand lire autrement.

Mais comme on dit, l’essentiel c’est la qualité et non la quantité. Et niveau qualité j’ai été servie, avec 3 excellents romans.

J’ai enfin pu découvrir l’un des meilleurs romans de Ellory : Papillon de nuit. J’ai enfin pu lire le premier roman de Céleste Ng : Tout ce qu’on ne sait jamais dit, et j’ai été conquise par l’histoire et par l’écriture, un vrai moment de plaisir. J’ai aussi pu découvrir le fameux roman de Marc Dugain : Avenue des géants, flippant à souhait, avec une façon d’écrire qui m’a beaucoup plu.


Côté séries, j’ai du en voir environ 40, avec 20 nouvelles séries tout genres confondu et 20 séries en cours où j’ai simplement regardé la nouvelle saison.

Ce fut difficile de faire un choix, mais dans mes préférées et dans les séries inédites et récentes, voici une brève sélection (dont les billets ne sont pas encore en ligne, mais cela ne saurait tarder).

Dans les séries cultes dont tout le monde parle, j’ai enfin pu voir la servante écarlate et la vérité sur l’affaire Harry Québert et franchement je n’ai pas boudé mon plaisir.

Sinon dans mes préférées il y a :

  • Balthazar, série policière française
  • Disappearance, série policière anglaise avec Peter Coyote, très addictive
  • Cameron Black, série américaine où le FBI demande l’aide d’un magicien
  • Zoo, série américaine d’horreur où les animaux prennent les humains pour cible afin de leur faire payer les changements climatiques; des effets spéciaux spectaculaires et une série très bien documentée.

Voilà en bref de quoi mon année fut faites. Peu de lectures mais des lectures intéressantes et beaucoup de séries passionnantes avec parfois des thèmes inédits, mais surtout des effets spéciaux de grande qualité pour des séries qui passeront uniquement à la télévision.

 

 

Publié dans Livres, roman policier, thriller

Saga policière anglaise – tome 6

Résultat de recherche d'images pour "livres ténébreux samedi fleuve noir"

TENEBREUX SAMEDI de NICCI FRENCH
Editions Fleuve Noir – 475 pages

Résumé de l’histoire (4ème de couverture)

Lorsqu’une ancienne relation de travail lui demande d’établir le bilan psychiatrique de Hannah Docherty, Frieda Klein se retrouve dans une situation délicate.

Elle ne peut refuser de rendre service à ce collègue influent, or elle éprouve un véritable choc en rencontrant la jeune femme. Incarcérée depuis 13 ans dans une institution douteuse pour avoir assassiné sa famille, Hannah n’est plus que l’ombre d’elle-même.

En dépit des preuves écrasantes, pour Frieda, la jeune femme, traumatisée par des années de maltraitance et d’abus, se trouve plutôt du côté des victimes que des bourreaux. Frieda décide donc de rouvrir le dossier de ce crime sordide et met au jour des incohérences accablantes.

Mon avis

Encore une désillusion avec ce roman, heureusement c’est le dernier disponible dans cette série, même si je suppose qu’il y aura un dernier tome avec pour titre Dimanche … que je ne lirai pas.

Toujours le même schéma, la même façon de faire et sur la longueur ça devient très pesant. La fin est bâclée avec un personnage plus que secondaire, dont on ne parle quasiment pas et qui se trouve être l’assassin !!

Je ne vois pas l’utilité de ré-ouvrir une enquête 13 ans plus tard, de passer près de 300 pages à interroger des gens sur ce qu’il faisait il y a 13 ans ! comme si on pouvait s’en souvenir, et de ces entretiens découvrir qui est le coupable.

Je n’ai pas trouvé les personnages très intéressants, voir carrément antipathiques, surtout pour Frieda. Le personnage de base est flou et au fur et à mesure on lui rajoute des traumatismes très communs qui n’apporte rien à l’histoire.

Le seul personnage un peu attachant est Karlsson, quoi que très classique, le gars qui se fait larguer par sa femme, qui le quitte en prenant les enfants et lui tombe dans l’alcool !! c’est archi reprit dans tous les polars.

J’ai rarement lu une aussi mauvaise série, mais j’avais toujours l’espoir que cela s’améliore et ce ne fut pas le cas.

Je ne lirai plus jamais aucun livre de ces écrivains, bien sûr cette décision n’engage que moi, mais je n’aime définitivement pas la façon d’écrire, et je ne trouve pas très cohérente cette façon d’enquêter.

Note : 2 / 5 

Le récapitulatif des autres romans :

Lundi
Mardi
Mercredi
Jeudi
Vendredi

Publié dans Cinéma, séries en vrac

Meurtres au paradis – saison 7

Résultat de recherche d'images pour "meurtres au paradis saison 7"

Comme chaque année, au moment des vacances, France 2 nous passe la dernière saison de la série « Meurtres au paradis » qui se passe à Sainte-Marie. Et pour ceux qui ne partent pas en vacances, comme moi, c’est mon moment d’exotisme de l’année.

Saison 6 : ici

Cette saison est légèrement différente, dans le sens qu’il y a un nouvel inspecteur, toujours anglais, en la personne de Jack Mooney (pour savoir comment et pourquoi il est là, lire l’article concernant la saison 6, ci-dessus).

L’inspecteur Jack Mooney, avec sa fille d’une vingtaine d’années, reprennent le logement de fonction de Humphrey, ainsi que son gecko, et il résout les crimes de la même façon que son prédécesseur. La seule variante au niveau des enquêtes, c’est que souvent c’est un duo de tueurs, ce qui n’avait pas encore été fait dans cette série.

Pour cette saison 7, le scénario se consacre beaucoup plus à la vie privée des inspecteurs, à commencer par Jack Mooney qui a accepté le poste pour changer d’air et essayer de prendre un nouveau départ après le décès de sa femme. De plus, sa fille fait sa dernière année à l’université et ensuite elle va entrer dans la vie active, et de ce fait il va se retrouver seul.

Ensuite on se focalise sur le personnage de Dwaine, infatiguable dragueur et baratineur, qui change de filles aussi souvent que de chemises !! Mais il va rencontrer une femme avec un fort caractère, qui sait ce qu’elle veut et au final, Dwaine va se mettre en couple avec cette femme. Il va donc lui révéler des détails sur son enfance, le fait que son père l’a abandonné, lui et sa mère, et qu’il est parti avec l’argent et les bijoux  afin de vivre de la musique et devenir célèbre mais on ne l’a plus jamais revu. Dwaine pense qu’il est sûrement mort.

Et les deux derniers épisodes sont consacrés à Dwaine et au retour de son père. Il y a des explications en vue, des bagarres entre eux, chacun expliquant ses choix, et à la fin du dernier épisode, Dwaine donne sa démission à Jack Mooney, afin de passer plus de temps avec son père et aussi sa nouvelle chérie.

Une saison 8 est déjà prévue pour l’année 2019, avec un nouveau personnage qui viendra remplacer Dwaine.

 

Publié dans Livres, roman policier, thriller

Saga policière anglaise – tome 5

Résultat de recherche d'images pour "cruel vendredi fleuve noir"

CRUEL VENDREDI de NICCI FRENCH
Editions Fleuve Noir – 413 pages

Résumé de l’histoire (4ème de couverture)

Un vendredi qui s’annonçait des plus ordinaires, un cadavre est repêché dans la Tamise. Seul indice sur l’identité du mort : autour de son poignet, un bracelet au nom du Dr Frieda Klein. Cette dernière est pourtant bien en vie.

Appelée aussitôt sur les lieux du drame, Frieda n’as pas de doute, l’homme assassiné est bien son ex-petit ami, Sandy. Sa vie privée, sa séparation douloureuse avec Sandy, l’ultime altercation en pleine rue, tout est passé au crible par la police.

Lorsqu’un portefeuille appartenant au défunt fait irruption dans son appartement, l’implication de Frieda semble définitivement scellée.

Devenue malgré elle le suspect numéro un, Frieda ne voit qu’une seule issue, prendre la fuite et mener sa propre enquête sur le sort de son ancien amant.

Mon avis

Une fois de plus, je me suis drôlement ennuyée dans ce roman. Il y a tellement d’incohérence que ça fait peur !

La première et pas la moindre, si j’assassine mon ex, je ne vais pas écrire mon nom sur son poignet ! Ensuite, le fait de s’enfuir nous rend forcément suspect.

Et ce qui m’agace plus que tout, c’est que Frieda va mener sa propre enquête de façon pas subtile du tout !! Toujours la même façon de poser des questions à des inconnus, qui sont assez stupides pour lui répondre sans se poser plus de questions.

Quand cette histoire démarre, Frieda et Sandy sont séparé depuis 1 ans et demi, Sandy l’a mauvaise et a inondé Frieda de sms, mails et coups de fil, sans relâche. Frieda s’est contentée de l’ignorer. Dans son enquête elle interroge la sœur et le beau-frère de Sandy, ainsi que ses collègues de travail, mais sans leur dire qu’elle était son ex. On assiste donc à un grand déballage sexuel, vu que Sandy s’est tapé une grande partie de ses collègues, la nounou de sa sœur, quelques copines de Frieda etc.

Au final on en revient à un simple meurtre passionnel, d’un personnage plus que secondaire, dont on a dû lire 10 lignes et tout et pour tout.

Bien sûr Karlsson et son équipe sont écartés de l’enquête pour conflit d’intérêt, pourtant ils s’en mêleront et Karlsson sera mis à pied pour ça. L’enquête est menée par l’inspectrice Hussein qui prend toutes les évidences au pied de la lettre.

En fin de roman un nouveau personnage est introduit dans l’histoire, on sait juste qu’il se nomme Levin, qu’il a le bras long dans le gouvernement, et que si Frieda travaille pour lui il pourrait faire en sorte que Karlsson soit rétablit dans ses fonctions.

Note : 2 / 5 

 

Publié dans Juste moi, mon moral vu de ma fenêtre

Retour sur juillet – août – septembre – octobre – novembre

J’écris cette chronique avec plusieurs mois de retard ;-// on est déjà à la fin de l’année 2018 et je n’ai pas vu le temps passer. Mon organisation a été désastreuse dans bien des niveaux … bref j’essaierai de faire mieux l’an prochain 😉

Juillet – Août : c’est l’été et il fait un temps magnifique … chaleur écrasante tous les jours … j’ai de la peine à dormir par 28 degrés … mais il faut faire avec … même lire au parc est moins agréable, car il y a peu de vent … aller au bord du lac avec le hibou pour son anniversaire … me dépasser et oser monter sur la grande roue … et au bout d’un moment profiter du spectacle … mais ne pas pouvoir faire la moindre photo … devoir aller à un entretien d’embauche par 38 degrés … et transpirer comme un bœuf pendant tout l’entretien … des gouttes qui tombent de mon visage pour s’écraser sur la table … et finalement, sans surprise, ne pas avoir le poste …

 

Septembre : et rebelote … nouvel entretien d’embauche, dans un domaine qui a priori ne me tente pas plus que ça … au final découvrir un lieu atypique et un responsable attachant qui me donne envie de tenter l’aventure … sortir de ma zone de confort et plonger dans une nouvelle aventure … le soleil et la chaleur sont toujours au rendez-vous …

je cours comme une dingue pendant tout le mois … faire un examen de la vue plus poussé avec une femme charmante … découvrir un opticien pas trop cher et avoir enfin mes nouvelles lunettes … faire le bilan avec mon allergologue et finalement ne faire aucune désensibilisation … admettre que je serai malade jusqu’à la fin de ma vie … et admettre aussi que je dois prendre mon traitement tous les jours et que rien ne va s’améliorer … que ça va juste être stationnaire …

avoir un méga coup de cœur pour un fauteuil de lecture … celui qui est en photo … allez le voir au magasin plusieurs jours d’affilées … et finalement franchir le pas et l’acheter … même si cela explose mon budget … malgré le super rabais obtenu … lui faire de la place … jeter des vieilleries … tout nettoyer à fond

 

Octobre : lundi 1er octobre, premier jour de ma nouvelle vie … se lever très tôt à nouveau … avoir de la peine à retenir 10 nouveaux prénoms … devoir tenir le nouveau rythme et retrouver mes réflexes professionnels … découvrir les gens et leurs histoires personnelles … sortir de ma zone de confort … oublier ma timidité … aimer la diversité de mon travail … commencer à prendre mes marques …

finir de ranger et nettoyer mon appartement afin d’accueillir mon fauteuil … l’inaugurer avec plaisir pendant le week-end … et voir que je ne me suis pas trompée … marcher plus de km que d’habitude … profiter encore de très belles journées automnales … devoir souvent monter au 1er étage … perdre 2 kg sans avoir eu le temps de faire du sport …

 

Novembre : avoir enfin le temps de faire ma virée Ikéa … ramener pleins de bougies parfumées mais moins que d’habitude … marcher encore et toujours malgré le temps qui se dégrade et le froid qui arrive … découvrir la très belle exposition de Carole Feuerman, avec ses statues qui ont l’air vivantes … investir dans des copeaux de bois pour la litière de Spoutnik … et ça me change clairement la vie …

accueillir les nouveaux étudiants … essayer d’entrer en contact avec eux … voir et ressentir le fossé générationnel … être surprise de leurs niveaux d’étude très très bas … alors qu’ils sont certains de tous savoir et tout connaître ! … avoir une nouvelle responsabilité … faire un horaire différent … essayer de trouver ma place dans cette nouvelle équipe …