Publié dans Livres, roman policier, thriller

Vague de suicides

FIN DE RONDE  de  Stephen KING
Editions Albin Michel  –  422  pages

 

Résumé de l’histoire

On retrouve une dernière fois Brady Hartsfield, toujours dans la chambre 217 au Kiner Memorial, toujours dans un état végétatif depuis 7 ans. Pourtant le docteur Babineau lui porte une attention particulière, le soumettant à des expériences, lui faisant tester de nouveaux médicaments.

Et contre toute attente, Brady arrive à faire bouger des choses, ouvrir l’eau, faire bouger les rideaux. Il fiche la trouille au personnel soignant. A force d’entraînement il devient plus fort, pas dans son corps mais dans son cerveau, il a un pouvoir télékinésique.

Et il compte bien s’en servir pour pourrir la vie d’un maximum de personnes, tuer un plus grand nombre de personnes que la dernière fois et peut être même gagner contre Bill Hodges, son plus féroce adversaire.

Bill Hodges ne se sent pas en bonne forme depuis quelques temps, mais il n’en montre rien à son associée Holly, afin de la tranquilliser et ils continuent de travailler dans leur cabinet de détective. Il prépare aussi la fête de départ de son ancien co-équipier, qui entame la fin de ronde, soit les dernières semaines avant le départ en retraite.

Et justement son co-équipier vient lui parler de suicides étranges, qui touchent surtout des anciennes victimes de Hartsfield et il l’engage en qualité de consultant. Ce qu’ils vont découvrir dépasse l’entendement.

Je n’en dirai pas plus afin de ne pas gâcher le suspens de la découverte.

 

Mon avis

Voici le roman qui clôture la trilogie policière de Stephen King. On fait une dernière ronde avec Bill Hodges et son associé Holly.

Un bon roman qui nous permet de régler les vieux comptes et de clôturer l’histoire, même si l’on est triste à la fin, il ne pouvait pas en être autrement. J’ai encore une fois passé un très bon moment avec l’intrigue, ainsi que les personnages qui sont très attachants.

 

Note :   5  / 5  

 

Ses autres romans policiers :

1 – Mr Mercedes
2 – Carnets noirs